Place de la Mairie 44320 SAINT PÈRE EN RETZ
☎ 02 40 21 70 29
mairie@saintpereenretz.fr


ZAC DES VANNES ET DE LA GARNIERE : TERRAINS A BATIR - Tél : 06.84.65.58.17
Si vous cherchez un logement auprès des bailleurs sociaux, vous pouvez retirer (ou mettre à jour ou renouveler) votre formulaire de demande de logement auprès de l'un des partenaires suivants :
- CCAS, Mairie
- OPAC, 3, blvd Alexandre Millerand BP 50432 44204 NANTES CEDEX 2 - Tél. : 02.40.12.71.00
- SAMO, Agence Ouest Loire-Atlantique, 1 rue des Sassafras BP 90105 44301 NANTES Cedex 3 - Tél : 0.810.271.271.
Un seul dossier est nécessaire pour tous les organismes de Loire-Atlantique grâce au fichier départemental de la demande locative sociale.
En ce qui concerne les locations de particulier à particulier, certains propriétaires déposent leur offre de location en Mairie. Se renseigner à l'accueil.
ADIL Agence Départementale d'Information sur le logement

23, Rue Lamoricière 44187 NANTES - Tél. : 02.40.44.99.44 - www.centrehabitat44.org
Locataire ou propriétaire, vivre longtemps chez soi de façon autonome, c'est possible avec un logement adapté.
- Vous souhaitez améliorer votre cadre de vie,
- Vous recherchez des solutions pour rendre votre logement plus accessible,
- Vous voulez favoriser votre autonomie et votre sécurité,
- Vous avez besoin de l'accompagnement de votre entourage ou des services d'aides à domicile,
- Nous vous conseillons sur les aménagements,
- Nous vous informons sur les modalités de financement d'aides.
Le Fonds de Solidarité Logement : un pilier essentiel de la lutte contre la précarité résidentielle
Le Fonds de Solidarité Logement (FSL) constitue un soutien financier déterminant pour les ménages rencontrant des difficultés à accéder à un logement ou à s’y maintenir. Destiné en priorité aux foyers aux revenus modestes, il permet de faire face à certaines dépenses incontournables comme le dépôt de garantie, le règlement du loyer ou les charges locatives. Ce dispositif intervient lorsque des obstacles financiers, qu’ils soient ponctuels ou durables, compromettent la stabilité résidentielle et mettent en péril le maintien dans le logement. Géré par les conseils départementaux, le FSL présente des modalités d’attribution, des montants et des critères d’éligibilité variables selon les territoires. Dans certains départements, l’aide peut atteindre entre 1 200 et 1 300 euros pour financer un dépôt de garantie ou l’entrée dans un logement, couvrir plusieurs mois de loyers impayés et participer aux frais d’assurance habitation à hauteur de 120 à 350 euros.
Pour bénéficier de cette aide, le demandeur doit déposer un dossier auprès de la mairie, du CCAS ou directement auprès du service logement du département. Ce dossier doit comporter des justificatifs relatifs à la situation financière et locative du foyer : ressources, charges, dettes éventuelles, loyers impayés, etc. Ces éléments permettent aux services sociaux d’évaluer la nature et le montant de l’aide la plus appropriée. L’appui d’un travailleur social ou d’un conseiller spécialisé facilite la constitution d’un dossier complet et augmente les chances d’obtenir un soutien efficace. Concrètement, le FSL peut financer un dépôt de garantie pour une nouvelle location, régler des loyers en retard, prendre en charge des charges locatives ou encore couvrir certaines dépenses ponctuelles nécessaires au maintien dans le logement. Ce dispositif joue un rôle essentiel pour éviter l’expulsion, préserver un cadre de vie digne et permettre à des familles ou des personnes seules de retrouver une stabilité résidentielle dans des périodes de fragilité économique et sociale.
À côté de ce dispositif, la location-accession constitue une solution intéressante pour les ménages qui souhaitent devenir propriétaires sans disposer immédiatement de l’apport ou du financement requis. Ce mécanisme repose sur un contrat de location avec option d’achat, généralement conclu sur une période de deux à cinq ans. Pendant cette durée, les loyers versés participent partiellement au prix d’acquisition du logement. À l’issue du contrat, le locataire peut lever l’option d’achat et accéder à la propriété. Cette formule permet ainsi de préparer progressivement un projet immobilier dans un cadre sécurisé, tout en répartissant l’effort financier dans le temps et en limitant les contraintes initiales. Dans cette perspective, il est également nécessaire de prendre en compte l’assurance emprunteur, qui couvre le remboursement d’un crédit en cas de décès, d’invalidité ou de perte d’emploi. Les garanties et les tarifs varient fortement selon les organismes, ce qui rend utile la comparaison des offres afin de trouver une protection adaptée à la situation et au projet de chaque ménage. Des structures spécialisées comme l’agence Empruntis à Nantes peuvent accompagner les foyers dans cette démarche d’information et d’orientation. En combinant le soutien immédiat du FSL, la perspective d’une accession progressive à la propriété grâce à la location-accession et la sécurité offerte par une assurance emprunteur adaptée, les familles disposent de leviers concrets pour consolider leur stabilité résidentielle. Ces dispositifs, associés à un accompagnement social et à une anticipation des démarches, constituent un socle solide pour sécuriser durablement leur logement et envisager l’avenir avec davantage de sérénité.
L’Allocation de Logement Sociale : une allocation pour les ménages aux ressources limitées
L’Allocation de Logement Sociale, ou ALS, est une aide financière destinée à réduire le coût du logement pour les personnes ne pouvant pas bénéficier de l’APL ou de l’ALF. Elle est versée par la CAF ou la MSA et son montant dépend de plusieurs facteurs, comme les revenus du foyer, la composition familiale, la taille et la localisation du logement. Par exemple, une personne seule dans un petit appartement peut percevoir entre 80 et 150 euros par mois, tandis qu’une famille avec deux enfants et des ressources modestes peut recevoir jusqu’à 400 euros, notamment dans les zones urbaines où les loyers sont élevés. L’ALS permet ainsi de garantir un logement décent tout en limitant les risques de surendettement liés aux dépenses locatives. Le calcul de l’aide tient compte du montant du loyer, des charges et de la situation spécifique de chaque foyer. Elle est renouvelable chaque année, et il est indispensable de signaler tout changement de situation ou de revenus pour éviter les erreurs ou les trop-perçus. Le versement se fait en règle générale directement au locataire, mais il peut également être adressé au propriétaire afin de simplifier la gestion du paiement du loyer. L’ALS complète d’autres aides au logement et joue un rôle essentiel dans le maintien de la stabilité financière des foyers modestes, qu’il s’agisse de familles, de personnes seules, de retraités ou de ménages à faibles ressources.
Les étudiants peuvent également bénéficier de l’ALS lorsqu’ils ne remplissent pas les conditions pour l’APL. Cette aide leur permet de financer un logement en résidence universitaire ou dans le parc privé. Le calcul prend en compte leurs revenus personnels et, selon le rattachement fiscal, ceux de leurs parents. Pour un étudiant vivant seul, le montant peut varier entre 100 et 200 euros par mois, rendant le logement plus accessible. La constitution du dossier nécessite la fourniture du bail ou d’une quittance de loyer, ainsi que tous les justificatifs demandés par la CAF. Il est également indispensable que le logement soit couvert par une assurance habitation spécifiquement conçue pour les étudiants, afin de protéger le logement, les biens personnels et la responsabilité civile en cas de sinistre. Les étudiants peuvent souscrire facilement cette couverture auprès d’organismes spécialisés, comme ADH, qui proposent des formules adaptées à leurs besoins et à leur budget, garantissant ainsi une sécurité renforcée et une tranquillité d’esprit tout au long de l’année universitaire. Cette couverture protège contre les principaux risques locatifs, comme les dégâts des eaux, les incendies ou la responsabilité civile, et son attestation peut être exigée lors d’un contrôle par la CAF. Grâce à l’ALS, les étudiants bénéficient donc d’un soutien à la fois financier et pratique, leur permettant d’accéder plus facilement à un logement stable tout au long de leurs études.
L’ALS s’adresse aussi à toute personne disposant de ressources limitées, qu’il s’agisse de salariés, de retraités ou de personnes en situation précaire. Elle contribue à réduire la précarité, à prévenir les expulsions pour impayés et à sécuriser l’accès à un logement décent. Le montant peut varier, par exemple, entre 120 et 350 euros par mois, en fonction de la composition du foyer et de la localisation du logement. Recalculée régulièrement pour tenir compte des changements de revenus ou de situation familiale, cette aide permet aux ménages de mieux répartir leur budget, en consacrant une part plus importante à d’autres besoins essentiels tels que l’alimentation, la santé ou l’éducation. L’ALS joue ainsi un rôle central dans la stabilité résidentielle et financière des foyers modestes, en garantissant un accès durable à un habitat sûr et adapté aux besoins de chacun.